• En quelques mots et quelques photos,

    Voici ce qui m'a marqué en Carmargue,

    je commence par mon côté gourmand : le riz et le sel,

    nous allons pouvoir en déguster cet hiver,

    ensuite j'adoré les grandes étendues d'eau, survolées par de nombreux oiseaux,

    entre autre les flamants roses,

    les taureaux, que j'admire de loin... pas trop courageuse la Mamou !!!

    et enfin une rencontre avec un cheval qui est venu poser son museau sur mon objectif,

    c'est à peine si j'osais encore respirer, de peur qu'il ne s'en aille trop vite.

    Je vous laisse découvrir ...

     

     


  • Voici un endroit que j'ai adoré,

    voici ce que j'ai trouvé sur le net pour vous donner plus d'explications : ici

     

     

    Le domaine du château d'Avignon est situé sur la route des Saintes-Maries-de-la-Mer, au coeur d'un écrin de verdure. C'est un site où règnent la modernité, le confort et le luxe, reflet de l'ère industrielle en Camargue.

     

     

     

    En 1893, Louis Prat-Noilly, riche négociant marseillais, achète le château bâti par la famille d'Avignon au XVIIIe siècle. Son esprit novateur, transforme cette bastide classique en un précieux pavillon de chasse, témoin des découvertes présentées aux Expositions universelles de 1889 et 1900 et du courant hygiéniste qui naît au XIXe siècle. 

     

     

     

    Dès l'entrée du domaine, le public découvre un site très original en Camargue : un parc paysager, au milieu de champs agricoles et de sansouire, un château inspiré du goût historicisant de la grande bourgeoisie de la Belle Époque et une station hydraulique de la fin du XIXe siècle dont la pompe fonctionne toujours pour irriguer les anciennes terres de Louis Prat-Noilly.

     

     

     

    Le domaine départemental du château d'Avignon est la propriété du Conseil général des Bouches-du-Rhône. Classé monument historique depuis 2003 ce site exceptionnel bénéficie désormais d'une valorisation patrimoniale et culturelle variée. 

     

     

     

    Des visites, des expositions, des manifestations culturelles et des activités pédagogiques sont programmées au domaine tout au long de l'année. Ces évènements proposent une lecture plurielle de ce patrimoine, offrant ainsi à tous les publics la possibilité de découvrir un lieu à la fois insolite et rare. 

     

     

     

     

    Dans l'ancien domaine de Louis Prat, au coeur du parc comme dans les décors du château, les animaux sont partout. Les écureuils observent le ballet furieux des sangliers qui malmènent les pelouses, des aigrettes fouillent goulûment la terre retournée à la recherche d'un déjeuner de lombrics. Dans les roubines, les poissons arrachés au fleuve par la puissance de la pompe de l'usine des eaux cherchent fébrilement une issue. Et puis des abeilles, des chauves souris et des moustiques naturellement...

     

     

     

    Sur les toiles et tapisseries qui animent les murs du château, les gibiers à poils et à plumes côtoient les chiens d'arrêt. Ce peuple silencieux cohabite avec les râteliers à fusils qui font écho à la vocation initiale de cette ancienne demeure de chasse, nichée au coeur de l'espace préservé de Camargue.





     


  • Une grosse envie d'aller vers la mer,

    mais surtout pas la plage, je déteste la foule, et jamais de ma vie je ferais la sardine (je devrais dire la baleine !!!) échouée sur le sable,

    de toute façon je ne tiens pas tranquille 1 minute...

    Au programme Salin de Giraud, le petit train du sel, hélas quand nous arrivons il est en panne.

    Quelques photos tout de même des salins, j'adore la belle couleur rouge.

    Nous prenons ensuite le bac de Barcarin, un peu court la ballade à mon goût, j'en aurait bien profité encore un peu, et pour 5 € un trajet pas grand chose en retour !!!

    Visite de Port Saint Louis ensuite, une grosse envie de voir un port de pêche, zut, les bateaux sont de sortie....

     

    Quelques photos tout de même, mais un peu déçue de la journée !!!

     


  • Un magnifique parc, une belle promenade, à voir absolument si vous aimez les oiseaux.

    Voici ce que j'ai trouvé sur le net : ici

     

     

    PARC ORNITHOLOGIQUE DE PONT DE GAU

     

    AU CŒUR DU PARC NATUREL RÉGIONAL DE CAMARGUE…

     

     

     

     

     

    Le Parc Ornithologique de Pont de Gau vous invite à partager l'intimité de la faune sauvage dans un milieu naturel de 60 hectares. Les sentiers du Parc ornithologique de Pont de Gau circulent à travers marais, étang, roselières, pelouses, sansouïres, roubines... La diversité d'habitats favorise la présence d'un grand nombre d'espèces d'oiseaux, sédentaires ou migrateurs.

     

     

     

    Tout, dans le Parc Ornithologique de Pont de Gau, a été imaginé afin de faciliter l'observation de plusieurs centaines de flamants roses, hérons, cigognes, aigrettes, sarcelles, rapaces, passereaux et autres petits échassiers.


    Et ici :


     

    Parc zoologique, réserve ornithologique, centre de soins, sentiers nature, Pont de Gau cumule les étiquettes. Crée en 1949 par un Camarguais passionné d’ornithologie, Pont de Gau est une histoire de famille. André LAMOUROUX aménage alors ce qu’il était commun d’appeler « un parc zoologique ». Lorsque son fils René reprend le flambeau en 1974, il imagine tout autre chose et insuffle à ce parc une bouffée d’oxygène et une mission éducative essentielle.

     

     

     

    D’abord, il troque les anciennes et vétustes cages pour de grandes volières où il reconstitue le biotope de chaque espèce présentée. Ensuite, il agrandit les lieux et aménage les 12 hectares de marais de chasse voisins auxquels il donne une toute autre fonction. Il fait circuler des petits sentiers à travers les marais qu’il a totalement pensé pour et en fonction des oiseaux. Dans ce vaste espace, il aménage des îlots, plante des milliers d’arbres, informe les visiteurs par de vastes et ludiques panneaux thématiques. Outre l’observation des oiseaux, une des missions principales reste la sensibilisation à la protection de la Camargue et de la nature en général.

     

     

     

    Depuis le milieu des années soixante-dix, le Parc abrite aussi  un centre de soins qui accueille aujourd’hui près de 350 oiseaux par an, provenant de toute la région.

     

    En 1987, il loue les 50 hectares du marais de Ginès au Parc Régional de Camargue.

     

    Aujourd’hui c’est plus de 6 kilomètres de balades dans un environnement protégé, une proximité inégalable avec les oiseaux et des conditions d’observation optimales.


    Et voici quelques unes des photos pour vous mettre l'eau à la bouche...

    Ce qui m'a le plus amusé dans l'histoire c'est de commencer par une cigogne !!! venant d'Alsace il fallait le faire !!!!



     

     


  • Après notre visite de Gordes, et un bon repas,

    nous nous sommes arrêtés au Village des Bories.

    Voici ce que j'ai trouvé sur le net : ici

     

     

    Le Village des Bories à Gordes - Le Luberon en Provence

     

     

     

     

     

        Lové sur les pentes des Monts de Vaucluse, à quelques encablures du village de Gordes, le village des Bories, classé monument historique, offre un témoignage inestimable du mode de vie en Provence, depuis les temps reculés jusqu'à nos jours.

     

     

     

        Un chef d'oeuvre architectural

     

     

     

        C'est au détour de sentiers pénétrant la garrigue ou des couverts de chênes verts que le visiteur découvre cet ensemble de trente cabanons de pierre sèche ressuscité et restauré par dix années de travail. Ces constructions typiques aux formes pures et simples représentent un chef d'ouvre architectural : le savant empilage de pierres non jointées avec une voûte en encorbellement. De petits cabanons qui reflètent si bien l'harmonie des éléments naturels, desquels émane un caractère austère et, en même temps, une douceur extrême caressée par l'étonnante lumière de Provence.

     

     

     

               

     

     

     

        Le mot "Borie", d'origine provençale, vient du latin "boaria" - étable à boeuf -, signifiant une cahute. Le cabanon a toujours été une institution en Provence. D'abord construit sur les champs pour abriter les outils des paysans, il est devenu, au fil du temps, la petite maison de campagne aménagé, quelquefois de manière rudimentaire, pour passer les dimanches ou les vacances. La borie permettait également aux bergers de s'abriter avec leur troupeau. Pour la construire, comme le "bancau", on dépierrait les terrains calcaires. Il n'y avait qu'à se baisser pour ramasser.

     

        Protégée, elle alimente encore aujourd'hui le paysage provençal, se dressant ça et là dans des champs, dans la garrigue, comme un vestige patrimonial chéri et respecté.

     

     

     

        Les maisons du village

     

     

     

        Le village des Bories, unique en son genre, se compose de sept groupes de cabanons ayant chacun une fonction bien précise. On reconnaît ainsi des habitations, des étables, des bergeries, des granges, des greniers, des magnaneries et fournils, des cuves et fouloirs, des poulaillers, des soues et chevrières. L'existence de ce village prouve, qu'en dehors d'une utilisation intermittente de la borie, comme habitation provisoire par exemple ou à des fins pastorales ou agricoles, on pouvait également trouver une organisation sociale et économique construite autour de ces habitats dans les temps anciens.


    Et voici mes photos ...



     





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